Si la hausse des prix constitue le problème prioritaire en France et en Italie, elle est moins fortement ressentie en Italie où les préoccupations sur le chômage et sur l’insécurité et l’immigration sont nettement plus répandues. Dans ce contexte, la politique économique de N.Sarkozy est beaucoup plus décriée que celle de S.Berlusconi, même si le volontarisme du Président français est mieux identifié. Il apparaît plus honnête que son homologue mais moins près des gens et plus inquiétant.
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