Aujourd’hui, la sécurité des domiciles reste une préoccupation majeure pour de nombreux Français, en particulier à l’approche des vacances d’été, période propice aux cambriolages. Pour mieux comprendre les comportements et les attentes en matière de protection résidentielle, Reolink a fait appel à l’Omnibus by Ifop afin de répondre à une question clé : comment les Français sécurisent-ils leur domicile ?
Frédéric Gulesserian, Country Sales Director France chez Reolink, revient sur les principaux enseignements de cette étude et les réponses apportées par la marque pour accompagner les foyers dans leur besoin croissant de sécurité.
Question 1 : Pourriez-vous nous expliquer le rôle de REOLINK et le contexte dans lequel cette étude sur la sécurité des domiciles a été menée ?
Chez Reolink, notre mission est de rendre la technologie de sécurité domestique fiable et accessible à tous. En tant qu’acteur clé sur le marché des caméras de sécurité connectées, nous avons jugé important de mieux comprendre les attitudes, les préoccupations et les comportements actuels des personnes en matière de sécurité à domicile en particulier pendant l’été, une période reconnue comme propice aux cambriolages. Cette étude a été menée afin de recueillir des informations sur les perceptions et les attentes des propriétaires et locataires français. En écoutant leurs préoccupations, nous pouvons mieux adapter nos solutions, sensibiliser le public et développer des outils qui répondent réellement aux besoins du quotidien.
Question 2 : L’étude révèle que 1 Français sur 3 est inquiet à l’idée d’un cambriolage en période estivale, et que la caméra connectée reste l’un des dispositifs de sécurité les plus souhaités, bien qu’encore peu répandus (seulement 25% d’équipement). Quels enseignements tirez-vous de ces résultats sur les freins actuels à l’équipement des Français ?
Ces données mettent en évidence un écart clair entre l’inquiétude et le passage à l’action. Bien qu’une part importante de la population soit préoccupée par les cambriolages, beaucoup n’ont pas encore adopté de solutions de sécurité connectée. Nous identifions deux principaux freins : d’une part, un manque de connaissance ou de compréhension de la simplicité et de l’efficacité des caméras connectées modernes. Par ailleurs, le coût est parfois perçu comme un obstacle, alors qu’il existe aujourd’hui de nombreuses solutions abordables et faciles à utiliser. Des solutions que Reolink propose justement pour lever ces freins. »
Combler cet écart entre inquiétude et adoption est au cœur de nos efforts en matière d’éducation et de développement produit.
Question 3 : En quoi ces résultats influencent-ils vos recommandations ou campagnes à venir sur la sensibilisation à la sécurité résidentielle ? Quels leviers de communication apparaissent comme les plus prometteurs pour démocratiser l’usage des dispositifs connectés ?
L’étude met clairement en lumière une opportunité et une responsabilité de mieux informer et rassurer le public. À l’avenir, nous allons mettre l’accent sur la démocratisation de la sécurité connectée via des contenus accessibles : tutoriels, témoignages concrets, comparatifs démontrant à quel point il est simple et économique de sécuriser son domicile. Établir une relation de confiance sera essentiel., notamment grâce à des partenariats avec les médias, les influenceurs, les acteurs de la maison connectée et de la tech, ainsi que par des campagnes de sensibilisation sur les réseaux sociaux. Nous comptons aussi souligner le sentiment de sécurité que procurent ces solutions., au-delà de leurs caractéristiques techniques. En fin de compte, le levier le plus efficace consiste à montrer comment ces solutions s’intègrent naturellement dans le quotidien et comment elles permettent à chacun de se sentir en sécurité et maître de son environnement.
