Le choix d’un bien immobilier s’envisage sereinement Pour 57% des 25-65 ans, les critères de choix d’un bien immobilier sont plutôt rationnels (surface, localisation ou encore la proximité avec son travail).
Ce score est assez logique en raison de l’investissement financier consacré et du changement de conditions de vie que cet achat implique. Dans ce contexte et, en dépit d’un climat social et sociétal assez morose, Il est particulièrement intéressant de constater que 43% des individus se prononcent d’abord sur des critères émotionnels tels qu’un coup de cœur ou une projection de confort futur.
A court terme, une majorité de de 25-65 ans se montre optimiste pour les 12 mois qui viennent (56%), considérant que la période sera propice à l’achat d’un bien immobilier.
Cet optimisme est nettement plus partagé par les acheteurs récents et potentiels (respectivement 69% et 79%) ainsi que, à un degré moindre par les vendeurs récents et potentiels (67% et 77%).
Concernant la minorité d’individus pessimiste (44%), les mauvais indicateurs économiques constituent le principal frein à l’achat. A plus long terme, en dépit d’une dimension de stress importante, l’achat d’un bien immobilier est perçu avec sérénité.
Pour financer leur résidence principale, plus des ¾ (77%) des acheteurs ont eu recours à un crédit. Exception notable, 43% des résidents de la Région Parisienne n’y ont pas eu recours. La durée du crédit est supérieure ou égale à 16 ans pour 2/3 des acheteurs (65%) qui ont utilisé ce mode financement. 62% des vendeurs d’un résidence principale ont eu recours un professionnel de l’immobilier.
Le niveau de satisfaction vis-à-vis de la prestation d’un professionnel de l’immobilier est en hausse : 88% de vendeurs ayant eu recours à un professionnel en sont satisfaits vs 83% en 2015.
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